Je me révolte, donc nous sommes.

À l’occasion du 1er mai, j’emprunte les mots d’Albert Camus dans « L’homme révolté ».

« Je crie que je ne crois à rien et que tout est absurde, mais je ne puis douter de mon cri et il me faut au moins croire à ma protestation. La première et la seule évidence qui me soit ainsi donnée, à l’intérieur de l’expérience absurde, est la révolte […] La révolte naît du spectacle de la déraison, devant une condition injuste et incompréhensible. »