“Ceux qui pensent que c’est impossible
sont priés de laisser faire ceux qui essaient.”
La citation ci-dessus, je l’ai découverte dans un recoin de la rue du Chemin Vert dans le 11ème arrondissement de Paris. Elle est le miroir de mon parcours personnel. Depuis mon enfance, le mot « rêve » était un mot qui ne faisait pas partie de mon vocabulaire. Combien de fois, adolescente, j’ai entendu « pour qui te prends-tu ? »
Le rêve est un monde sans barrière, tout est permis. C’est le quotidien de l’enfant d’imaginer, de créer puis ensuite de se projeter pour devenir un adulte à l’image de son souhait. C’est une aide dans sa construction, casser les rêves c’est basculer adulte avant l’âge.
Alors la sortie brutale n’est que tristesse et noirceur et se bâtir devient difficile, semer d’embûches que l’on se crée naturellement par un manque de confiance en soi. On se carapate et on s’obstine à parcourir un chemin tortueux en sachant qu’il n’y a que vous seule pour réussir. Mais la rencontre peut retourner la situation, et la rendre plus claire même si l’on ressent au début un déséquilibre d’émotions qu’on cherchait en vain à maîtriser.
Alors on peut commencer à visionner une vie plus sereine. Le rêve devient réalité, tout est possible. Les portes commencent à s’entrebâiller pour diffuser une lumière douce mais bien présente qui s’infiltre et s’imprime sur l’ombre. Le chemin devient alors moins laborieux, la rugosité des pierres s’estompent doucement.
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